Concours roman jeunesse

Hachette Jeunesse lance un concours roman pour la série "Black Moon"
http://www.enviedecrire.com/concours-hachette-jeunesse-black-moon/

Ohhhhh ! Merci pour cette annonce !
Mais flûte, il ne reste plus beaucoup de temps !

Tu peux le dire, parce qu'écrire un roman entre 150000 et 500000 signes, c'est pas rien!

Eh oui ! C'est dommage. C'était motivant ! Là, euh... en si peu de temps, c'est un tantinet décourageant en fait !

Sorry ! Je n'ai eu connaissance de ce concours qu'aujourd'hui.

Ne le prends surtout pas pour toi voyons ! Un énorme merci de nous l'avoir fait connaître ! Certains ont sûrement dans leurs tiroirs un manuscrit qu'ils pourront envoyer. Pour ceux qui n'en ont pas mais qui voudraient en écrire un, c'est un challenge ! Donc mille mercis encore !

Non, pas de problème. Je voulais juste dire que j'étais désolée de ne pas en avoir eu connaissance plus tôt.

Pas toujours facile de trouver ces annonces effectivement.
Et là, elle est belle !

Belle, mais très difficile car elle s'adresse principalement aux auteurs pas encore publiés - je dis principalement parce que sous 150000 signes les organisateurs considèrent qu'on peut participer - et qu'il est très difficile de gérer la complexité d'un texte de 300 ou 400000 signes (personnages, situation etc.)
En résumé, celui qui réussira cet exploit aurait pu se faire éditer dans n'importe quelle maison d'édition. Et par avance, je lui tire mon chapeau.

Attention toujoursinvit, tu commences par tirer ton chapeau et tu vas finir par te dévoiler complètement ;-)

Je porte une casquette, en vrai!

merci d'avoir relayé l'info!

suis juste dégouté, jamais publié, j'ai le dernier exemplaire de mon dernier, là, juste devant moi, relié tout beau, 480000 caractères, j'ai même l'enveloppe idoine... mais petit détail, qui a son importance: la collection Black moon ne veut pas de "fantasy médiévale"...

Bertrand : vite, vite, pense à autre chose, tralalalala...
Toujoursinvit : casquette ou chapeau, le dévoilement reste le même, héhéhé... Ca commence comme ça hein et puis...
;-)

Oh oui ! Je l'ai vue aussi aujourd'hui, cette petite annonce, mais les délais sont beaucoup trop serrés...

Dommage pour la fantasy ! Bouh !

En plus, j'ai toujours du mal avec cette appellation de "jeunes adultes", pas vous ?

Les Vieux jeunes, ça marche aussi?

LéaDeGirn a écrit: j'ai toujours du mal avec cette appellation de "jeunes adultes", pas vous ?

ça correspond à une catégorie apparue en "socio-marketing": les ... (attention, mot laid en vue...)

ADULESCENTS!! (adulte-adolescent, cqfd)

donc chez les marketeux (et les gros éditeurs ont les leurs...) on a compris depuis Harry Potdebeur qu'ils faisaient plus de blé en vendant à un public majeur des produits jusque là réservés aux mômes.

le jeune adulte => bonne vache à lait, il a un salaire, et il le claque dans les livres, les dvd, les MMOs...(mince, je viens de me décrire, pffff)

Le site sur lequel figure cette info est intéressant pour les auteurs. Par ces temps pluvieux, il est important de se remonter le moral. Voici ce que dit Frédérique Martin:
5% des auteurs en France vivraient de leur plume. D’un point de vue strictement économique, nous sommes donc à un taux record d’environ 95 % d’échecs. Le meilleur taux sur le marché et le seul qui soit garanti, toutes catégories confondues.
En termes de rémunération, l’auteur est l’ouvrier Michelin de la chaîne du livre. C’est lui qui touche la plus petite rémunération (entre 6 et 12%, selon les maisons et les secteurs, du prix HT du livre). Ne parlons pas de sa rémunération sur la vente numérique du livre !
En ce qui concerne les manuscrits, Gallimard dit en recevoir 6000 par an. Le plus petit des éditeurs en reçoit bien une centaine. Il en publiera un. Ou peut-être deux, les années bissextiles. Il est de toute façon enseveli sous le flot et incapable de l’endiguer. Le tirage moyen d’un roman est de 1000 exemplaires.

Voilà qui remonte le moral, non?

Ah ça pour le remonter, ça le fait ;-(

Le % annoncé dans son article est un peu trop optimiste, d'ailleurs. Elle aurait pu écrire "entre 3 et 12 %", sachant que la moyenne haute est celle des auteurs pour adultes.

XD Ca remonte le moral, n'empêche!! (ou pas^^)
J'ai un roman tout prêt, que je n'arrive pas à envoyer parce que j'ai bien peur de n'avoir que des "non". mais là encore, il faut faire imprimer et poster...et je me suis renseignée...Ca freine tt de suite l'ardeur!

Il y a aussi les envois pas mail.

alors extrait du réglement de ce concours:


"Les finalistes sélectionnés par le jury et leurs représentants légaux le cas échéant s’engagent expressément et irrévocablement à accorder une «option exclusive» gratuite à l’Organisateur pour l'édition de tout ou partie du manuscrit sous forme de livre papier et de livre numérique,en toutes langues et dans le monde entier, cela pendant un an à compter du 15 juillet 2013.
De la sorte, ils s’engagent expressément et irrévocablement à ne pas communiquer et proposer leur manuscrit à un quelconque éditeur pendant la période susvisée."

"option exclusive gratuite" pendant un an, aucun à-valoir ou pourcentage annoncé, interdiction de proposer ailleurs... c'est toujours comme ça les concours?

J'ai participé à un manuel scolaire et même là, dans le contrat qui doit être standard, j'ai dû signer un droit de préférence. Ça veut dire que tu es obligé de proposer à cette maison d'édition tes prochaines œuvres. Au bout d'un certain nombre de refus, tu es libéré de cette clause.
L'annonce vient de Hachette quand même. Tout sera réglo. L'exclusivité ne me choque pas. Quant aux droits d'auteur, ce doit encore une fois être "standard".

Là, je ne crois pas que ce soit tout à fait ça. En fait, les 5 ou 6 finalistes pouvant prétendre à être le dernier Highlander ont plusieurs obligations:
- "abandonner" leur texte pendant une année à Hachette qui va les mettre à dispo des internautes parce qu'ils doivent voter pour leur livre préféré.
- pendant ce laps de temps, ils n'ont pas le droit de proposer leur manuscrit ailleurs.
- Le gagnant se verra proposer un contrat d'édition (si Hachette et l'auteur ne parviennent pas à se mettre d'accord, un autre lauréat est choisi).

Dur, dur, d'être finaliste sans gagner en somme.
Ah, l'édition et son univers impitoyaaaaableuh !