Ratio
+3
licoupeille
toujoursinvit
Gaëti
7 participants
Page 1 sur 1
Ratio
Quel est votre ratio de projets acceptés pour le nombre de projets faits ?
Je parle surtout pour les gros producteurs.
Je parle surtout pour les gros producteurs.
Re: Ratio
A mes débuts et pendant plusieurs années: 100% de refus.
Actuellement, 9 projets sur 10 acceptés. Il a fallu beaucoup de travail et de persévérance entre les deux. Et toi?
Actuellement, 9 projets sur 10 acceptés. Il a fallu beaucoup de travail et de persévérance entre les deux. Et toi?
Re: Ratio
sur 11 projets de petits romans, j'en suis à 3 publiés (et je ne capitule pas pour les 8 autres que je n'ai pas envoyés partout).
Re: Ratio
26 projets achevés à ce jour pour 7 acceptés
Avec en effet, grosse accélération ces derniers temps (1 accepté les 3 premières années, les 6 autres depuis l'année dernière)
Avec en effet, grosse accélération ces derniers temps (1 accepté les 3 premières années, les 6 autres depuis l'année dernière)
Re: Ratio
Deux pour une dizaine. Je pense que ça s'améliorera - j'espère!- avec le travail et le temps si je continue à m'accrocher. Je rêverais d'une école d'auteur pour la jeunesse !
Invité- Invité
Re: Ratio
J'avoue que cela mérite un bravo !! Je n'aurais jamais la motivation d'en faire autant sans avoir la certitude que ça marche. Et le temps aussi.
Re: Ratio
Bravo pour votre travail!
Toujoursinvit, c'est motivant de voir où tu en es arrivé! ça a du te paraître long!
Toujoursinvit, c'est motivant de voir où tu en es arrivé! ça a du te paraître long!
Iseult- Messages : 316
Re: Ratio
Rien à voir, et j'espère que vous me pardonnerez ce petit apparté, mais ça fait du bien d'être sur ce forum et de discuter avec des gens qui en bavent, qui s'accrochent et qui sont heureux quand ça marche.
Sur facebook, je suis un groupe qui s'intéresse à la littérature jeunesse (vous le connaissez peut-être, je ne préfère pas le citer explicitement) et je vois des auteurs qui sont publiés chez Seuil, Milan, à l'EDL... qui en vivent complètement... Et qui se plaignent sans cesse. Je suis partagée parce que je comprends leurs revendications, qui sont totalement justifiées (métier précaire, pourcentage de droits d'auteurs dérisoire...) mais je les trouve tellement nantis d'un autre côté... Combien se sont cassés les dents pendant des années avant de cracher dans la soupe?
pardon pour la digression mais j'ai lu des choses qui m'ont mises en colère et en même temps je n'arrive pas bien à analyser ma colère. c'est peut-être bêtement de la jalousie
Sur facebook, je suis un groupe qui s'intéresse à la littérature jeunesse (vous le connaissez peut-être, je ne préfère pas le citer explicitement) et je vois des auteurs qui sont publiés chez Seuil, Milan, à l'EDL... qui en vivent complètement... Et qui se plaignent sans cesse. Je suis partagée parce que je comprends leurs revendications, qui sont totalement justifiées (métier précaire, pourcentage de droits d'auteurs dérisoire...) mais je les trouve tellement nantis d'un autre côté... Combien se sont cassés les dents pendant des années avant de cracher dans la soupe?
pardon pour la digression mais j'ai lu des choses qui m'ont mises en colère et en même temps je n'arrive pas bien à analyser ma colère. c'est peut-être bêtement de la jalousie
Iseult- Messages : 316
Re: Ratio
Ou tout simplement, tant qu'on n'est pas édité, on idéalise. Ensuite, on est rattrapé par la réalité.
Re: Ratio
@ Iseult : en même temps, comme tu le dis, leurs revendications sont pleinement justifiées. Quand il n'y a plus de "vrai métier" (je blague, pas taper) pour faire bouillir la marmite, les attentes sont logiquement plus importantes envers l'écriture.
Ensuite, en tant que débutant, je trouve normal que la pente soit raide et difficile. On apprend un métier, on apprend à écrire et à conter une histoire qui tienne la route et qui, cerise sur le fraisier, fasse rêver un peu. La difficulté nous force à être exigeant et à travailler, à nous améliorer... C'est dingue le temps qu'on peut passer sur une minuscule page de texte.
Bon, ok, l'avalanche des "non" sans autre commentaire que "pas dans notre politique éditoriale", ce n'est pas très motivant.
Mais le pire qui m'est arrivée je crois, c'est de réaliser qu'un texte dont j'étais toute fière est... mauvais. Et d'avoir honte de l'avoir envoyé. Gloups. Et d'avoir pris du temps à un éditeur pour "ça".
Bref, whatever...
Ensuite, en tant que débutant, je trouve normal que la pente soit raide et difficile. On apprend un métier, on apprend à écrire et à conter une histoire qui tienne la route et qui, cerise sur le fraisier, fasse rêver un peu. La difficulté nous force à être exigeant et à travailler, à nous améliorer... C'est dingue le temps qu'on peut passer sur une minuscule page de texte.
Bon, ok, l'avalanche des "non" sans autre commentaire que "pas dans notre politique éditoriale", ce n'est pas très motivant.
Mais le pire qui m'est arrivée je crois, c'est de réaliser qu'un texte dont j'étais toute fière est... mauvais. Et d'avoir honte de l'avoir envoyé. Gloups. Et d'avoir pris du temps à un éditeur pour "ça".
Bref, whatever...
Invité- Invité
Re: Ratio
Pour le conte, tu as dans la région Guy Prunier ou Jean Porcherot qui sont réputés comme formateurs (et conteurs!).
Tu as aussi Nuit du conte à Saint-Etienne, Nuit du conte à Saint Germain Nuelles, Le lâcher d'oreilles à Corbas ou encore Paroles en festival (sur la région lyonnaise) qui sont les temps forts autour du conte en R-A et un moyen d'écouter du conte et de commencer à se constituer un réseau.
Tu peux aussi te proposer comme conteuse bénévole pour t'entraîner auprès des petites médiathèques (villes de moins de 5000 habitants), crèches, écoles...
Pour gagner sa vie, c'est comme auteur jeunesse, faut s'accrocher, se former, se constituer un bon réseau (écoles, médiathèques...) et être très mobile (les conteurs pro que je connais voyagent dans toute la France et ont tous une histoire de motel miteux à raconter-comme les auteurs jeunesse? ).
Tu as aussi Nuit du conte à Saint-Etienne, Nuit du conte à Saint Germain Nuelles, Le lâcher d'oreilles à Corbas ou encore Paroles en festival (sur la région lyonnaise) qui sont les temps forts autour du conte en R-A et un moyen d'écouter du conte et de commencer à se constituer un réseau.
Tu peux aussi te proposer comme conteuse bénévole pour t'entraîner auprès des petites médiathèques (villes de moins de 5000 habitants), crèches, écoles...
Pour gagner sa vie, c'est comme auteur jeunesse, faut s'accrocher, se former, se constituer un bon réseau (écoles, médiathèques...) et être très mobile (les conteurs pro que je connais voyagent dans toute la France et ont tous une histoire de motel miteux à raconter-comme les auteurs jeunesse? ).
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|